• .... Noël en Décembre.

     

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  • ..... Mais c'est aussi se regarder, les yeux dans les yeux.

     

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  • Regarder dans la même direction.

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  • Tout est relatif, mais après plusieurs semaines de froid glacial, un petit 10°c au soleil, moi je dis, il fait chôôôô !

    Avec les chiens, on est montés à la cime de la montagne, là d'où je ne reviens jamais sans me perdre. On s'est allongés dans le thym, on a écouté tous les bruits des animaux de la montagne qui comme électrisés par la douceur de l'air, criaient, pépiaient, bourdonnaient même, à s'en épuiser, on a regardé tout au loin la rivière se tortiller hors de sa gangue de glace, on a poursuivi des sangliers qui prenaient le soleil sur une faïsse bien exposée (enfin, moi, j'ai encouragé de loin, hein ?), on a bu l'eau des ruisseaux. Et on est redescendus. Sans se perdre. 

    C'est le redoux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

     

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    Salomé me disait l'autre jour au téléphone que je vivais une vie de rêve. Une vieille et belle demeure dans une des plus belles régions de France, 7 hectares de prés, forêt, un ruisseau, des cascades, un espace d'une extraordinaire beauté pour permettre à mes très nombreux chevaux, chiens, chats de s'abattre en liberté, le soleil, la plupart du temps, la mer tout près, mon travail, à dix minutes …. Oui, une vie de rêve.

     

    Mais derrière la vitrine, resplendissante, ruisselante de belles images, d'anecdotes humoristiques, on trouve l'arrière-boutique de ma vie. C'est dans les tréfonds de cette pièce sombre, pas très saine, qui sent un peu le moisi, que je vais vous entraîner aujourd'hui. Pas de belles photos, il y fait trop sombre, et le flash révèlerait des toiles d'araignées qu'il vaut mieux laisser dans l'ombre.

     

    Bien sûr, dans cette remise à galères, on y trouve l'évident, l'attendu : la maison si difficile à chauffer où l'eau gèle dans la cuvette des wcs, les réparations quotidiennes d'un truc ou d'un autre qui lâche, quand ce ne sont pas plusieurs trucs en même temps, les grasses matinées à jamais perdues, parce que, qu'il gèle à pierre fendre ou qu'il pleuve des trombes, il faudra quand même descendre nourrir les chevaux, la liberté de voyager rangée aux oubliettes, car il n'y a personne pour s'occuper des bêtes plus qu'un jour ou deux, et encore, deux jours, c'est déjà trop, c'est déjà impossible, la double journée à effectuer qui rend si difficile ensuite, la fatigue se faisant si pressante, la continuation de mes projets d'écriture.

     

    Et puis, on s'enfonce un peu plus dans la pièce, et l'odeur nauséabonde de la tristesse vous saute à la gorge, vous fait venir les larmes aux yeux. Là, dans un coin, il y a votre fille, toute douce, rarement agressive, à genoux sur le sol dur de gel, essayant à 19 heures de déboucher un tuyau gelé qui mène aux juments et qui se met à hurler sa rage : « Alain, si un jour je le revois, je crois que je le tue ». Il y a votre fils, qui rentre pour les vacances, nimbé de son mépris pour votre style de vie, mépris certes teinté d'inquiétude, et qui se répand en sarcasmes, en agressions, en critiques, en reproches, qui vous enfonce jusqu'à ce que vos larmes ne soient plus qu'un torrent ininterrompu que même le froid n'arrive pas à pétrifier sur votre visage. Il y a là, tapie sous des comportements adolescents exacerbés, l'angoisse pour leur mère qui sera seule, dès septembre prochain, pour gérer l'ingérable, contrôler l'incontrôlable, tenir seule la barre d'un Titanic en puissance qui en coulant, emporterait toutes les économies dans lesquelles je puise chaque mois pour compenser la différence entre ce que je gagne et ce que me coûte la gestion de cette maison.

     

    Juste derrière, bien enfoncée dans la terre battue suintante d'obstination, il y a ma propre détermination, parce que, malgré tout, cette maison, je l'aime, parce que de toutes façons, où trouver à me reloger plus facilement, plus confortablement, avec deux chevaux, douze chats, sans compter les squatters, six chiens ? Où trouver l'espace nécessaire, le retrait suffisant des voisins pour ne pas gêner, mais un voisin tout de même sympathique, qui est devenu de la famille pour se faire aider, quand vraiment, vraiment, toute seule, je n'y arrive juste plus ? Vends cette baraque ! Achète un terrain ! Fais-toi construire une maison neuve ! Pars ! Pars ! Pars ! La voix des enfants, qui fait écho à mes propres cris de terreur. Où ? Comment ? De l'obstination ? De la détermination ? Ou tout simplement un manque d'énergie. Je me sens incapable de bouger, engoncée dans mon lourd manteau en poils de leonbergs, chinois, lipizzan, ponnette, chats ….

     

    Dans un trou de la terre suintante d'obstination croupit un tas pourrissant de fierté mal placée. Quand mon mari m'a laissée ici quinze jours après le déménagement, je me suis écroulée, j'ai fait une tentative de suicide qui tenait plus de l'appel au secours que d'une véritable envie de mourir, envie d'arrêter de souffrir, oui, mais pas envie de mourir. Et puis je me suis relevée, et lentement, à pas et gestes comptés, j'ai commencé à reconstruire, la maison et moi-même, à faire de ce mas pas habitable au début (pas de chauffage, pas d'eau, pas d'évacuation d'eau, dalle brute au sol, pas de clôture pour les bêtes, pas d'électricité assez puissante pour allumer à la fois la lumière et un four, pas de cuisine ….) une maison au confort certes sommaire, souvent sale et poussiéreuse, mais une maison quand même, pour moi, pour les enfants. J'ai manié la tronçonneuse, la disqueuse, la scie sauteuse, j'ai enfoncé des clous, coupé des carreaux, enduit des murs, tiré des fils électriques, des tuyaux d'eau, creusé des tranchées : s'il ne fait pas bien chaud en hiver, si quand il pleut beaucoup les murs prennent parfois l'humidité, il reste que le four fonctionne en même temps que la télé, que l'on marche sur du plancher, que quand l'eau n'est pas gelée, on peut prendre une douche et que même si elle est petite, on peut préparer à manger dans la cuisine …. Alors tout ça pour quoi ? Tout ça pour rien ? Tout ça pour partir ? Tout ça pour jeter l'éponge, m'agenouiller à nouveau devant l'adversité, annoncer au monde que je m'incline, que j'ai perdu, que parce que je vis seule dans une maison lourde à gérer, je me retire, j'abandonne, je laisse le gong résonner et proclamer ma défaite ? Cette vie, c'est ce que dans mon métier d'avant, on aurait appelé mon « competitive edge », je ne sais pas trop comment le traduire dans ce contexte, littéralement ça veut dire « avantage sur la concurrence ». J'ai perdu beaucoup, au cours des vingt dernières années : mes maris, une vie de famille avec un père pour mes enfants, de l'argent, beaucoup d'argent en renonçant à mon métier dans la pub et le marketing, et ce afin de libérer du temps pour élever moi-même mes enfants, sans les confier à une nourrice. J'ai perdu ma jeunesse. Si je perds aussi ma différence, ce qui fait ma spécificité, si je me contente de mon pâle (à mes yeux) métier d'enseignante, dans une pâle maison où je devrais par nécessité renoncer à une partie non négligeable de mon cheptel, si je rentre dans le rang, si je me rapproche de madame Toutlemonde, alors j'aurai perdu plus que ma jeunesse, j'aurai perdu le sens que je cherche à donner à ma vie. J'ai conscience de l'orgueil contenu dans ces propos, je n'ai jamais caché que j'avais un égo sûrement sur dimensionné, mais l'énergie vitale, chacun la puise là où il peut, en fonction de ce qu'il est. La fierté, l'orgueil, l'obstination …. appelez-ça comme vous voulez, chez moi, ils constituent un puissant moteur. Si le moteur cale, c'est ma vie entière qui broutera lamentablement le longs des chemins balisés.

     

    On arrive au fond de l'arrière boutique, on a réussi, en se salissant les chaussures et en s'empoussiérant les cheveux, à passer tous ces vieux rebuts qu'on ne montre pas dans la vitrine de la boutique « La vie de rêve ». Les yeux s'habituent à l'obscurité. Il reste un tas de gravats, bien tranchants, bien coupants. Ils sont noirs …. comme les ténèbres vers lesquelles nous nous dirigeons tous. Ils sont acérés comme l'angoisse qui tous les jours que le diable fait me lacère le creux du ventre d'une lancinante question. Et s'il m'arrive malheur ? Oh ! Appelons un chat un chat ? Si je meurs avant tous ces êtres qui dépendent de moi ? Les enfants seraient terrassés de chagrin, bien sûr, mais ils ont un père, une famille du côté de leur père, de l'argent de mon côté, la maison qu'il pourront enfin vendre en la maudissant, leur vie à commencer, ou à continuer. On survit à la mort de ses parents, je suis bien placée pour le savoir, on y survit, et on finit même parfois par réussir à être heureux.

    Mais qui récupèrera Tritri la chatte handicapée qui ne sait pas très bien manger si on ne lui met pas ses croquettes en tas, ou si on ne lui écrase pas ses cous de poulet à la massette ? Qui saura que derrière les oreilles penchées de Sissy, se cache une jument de randonnée calme et obéissante ? Qui renoncera à l'argent du boucher que représente une ponnette sans papier ? Qui acceptera de ne pas séparer ma famille de Chinois, ou tout du moins Lapin et Bobo d'un côté, Uby et Baker de l'autre ? Qui voudra de Grisou qui n'accepte de pisser que sur une serpillère ? Et Love, Alain qui l'a tant aimée, acceptera-t-il de la reprendre pour ses vieux jours ? Puce trouvera-t-elle une famille pour Gnafron qui a peur de tout le monde sauf de Viviane et de moi ? La SPA fera-t-elle l'effort de venir attraper tous les autres chats pour essayer de les placer ? J'ai perdu 5 bêtes l'an dernier, chaque fois avec un chagrin épouvantable, mais chaque fois avec une petite voix qui me soufflait : en voilà un de plus qui au moins est parti avant moi.

    La moindre douleur, la plus petite prise de sang prescrite, les examens de routine demandés me mettent chaque fois en transes : j'en deviens hypocondriaque, obsédée par la perspective de la maladie, d'une hospitalisation même pour des raisons bénignes.

    Comme me le dit mon indispensable psy lors de nos séances hebdomadaires : c'est simple, vous n'avez pas le droit d'être malade ! Alors, j'essaie de lui obéir et jusqu'à présent j'y réussis plutôt bien.

     

    Pour finir, je dirais que ce qui fait que ma vie n'est pas la vie de rêve que j'affiche en vitrine de ce blog, ce ne sont pas tant les levers matinaux, la télé qui se casse, les 20 stères de bois à monter, les doubles journées, le fric qui s'épuise, les stalactites dans la salle de bains …. Ce n'est pas non plus finalement le mépris de Laurent, après tout, ce n'est pas sa vie, mais bien la mienne, ce n'est pas leur inquiétude à tous les deux face à l'avenir : je leur prouverai, une fois de plus que je suis plus forte qu'ils ne le croient et je réussirai à faire face – la plupart du temps – même seule complètement, même sans eux, en tous cas pour l'instant, car j'ai encore des ressources. Peut- être sera-ce même plus facile sans eux, car je n'aurai pas à me préoccuper au quotidien de leur confort, les sachant bien installés ailleurs, et la chape de la culpabilité s'allègera peut-être.

    Non, ce qui fait que le rêve frise le cauchemar, au quotidien, c'est une chose, une seule chose, le plus abject des détritus de l'arrière-boutique ténébreuse : c'est la RESPONSABILITE NON PARTAGEE.

    Non, Salomé, je ne mène pas tous les jours une vie de rêve ….

     

     

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    Comme tu le sais, si tu es déjà venu à la maison ou si tu suis ce blog, le mas - dit le nid d'aigle - est situé à flanc de colline, et il faut suivre un mauvais sentier qui monte, avant de l'atteindre. La plupart du temps, ce sentier, nous le prenons à pied, car nous garons les voitures en bas, seul le 4X4 est capable de le monter, et je l'économise si je n'ai rien de lourd à transporter, car les pneus sur cette bagnole, quand tu les changes, coûtent quasiment le prix d'unc Clio neuve.

    Bref, dès que nous descendons ou que nous montons, nous réfléchissons à deux fois afin de déterminer s'il n'y aurait pas quelque chose d'important à prendre avec nous, histoire de ne pas faire d'aller-retours inutiles, vu que une prothèse de hanche et de genou, je suppose que ça vaut encore plus cher qu'une Clio neuve (même si c'est remboursé par la sécu) et je ne te parle même pas d'une greffe de poumons.

    Parmi les choses à remonter d'en bas, il y a bien souvent un machin tout noir qui se débrouille pour débarouler jusqu'aux faïsses inférieures de la propriété, mais qui parfois n'a plus l'énergie de se remonter toute seule. Ce truc c'est Tritri, la chatte handicapée. Pour ceux ou celles qui ne la connaissent pas, je remets quelques vidéos facultatives qui montrent que la locomotion n'est pas son premier talent dans la vie. Elle le compense par une énergie, une intelligence et une pugnacité hors du commun. J'ai la flemme de retrouver l'article où je la montre dans la montagne avec nous, et de toutes façons, Overblog que je vais bientôt quitter car ils multiplient les bugs, a paumé toutes mes photos archivées dans les articles un peu anciens, donc ce n'est pas la peine que je fasse de liens vers des articles vides.

     

     

     

     

     

     

     

    Donc, tu comprends mieux, que parfois, on a quand même pitié, et que même chargée de son sac de lycée et du bidon pour porter un peu d'eau chaude aux chevaux, il y a une bonne âme qui veut bien jouer les remonte-pentes !

     

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    Heureusement, les pistes sont froides mais pas enneigées.

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  • La présidente du fan club de Bobo et de Lapin, mes chinois à poils, donc ceux ne sont pas à poil justement, m'ayant par des biais détournés, fait subtilement comprendre qu'il n'y en avait que pour les gros poilus ou les petits nus, sur ce blog, je veux immédiatement réparer cette injustice flagrante en publiant PLEIN de photos récentes de mes petits plein de poils que j'aime juste autant que les autres !

    ESTAMINETTE  (T'inquiète, c'est la même adresse  que Salomé, mais elles sont colocs de blog), c'est rien que pour toi  ... et pour ceux qui auront aussi envie de ragarder.

     

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    TOILETTAGE

    Et pour finir, un Lapin écrasé !

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  • Quand Puce m'a offert Uby et que je l'ai acceptée (au lieu d'aller me casser une jambe), je m'étais inquiétée de sa capacité à résister au froid : nous habitions certes en Provence à l'époque, mais il peut aussi y faire très froid l'hiver. Puce m'a rassurée à grands coups de photos de Chinois dans la neige. Bon, tant mieux, car il était hors de question de je me transforme à mémère à son chienchien qui promène un clébard habillé (Françoise et Gwen, si vous passez par là, je vous aime bien quand même !!!!).

    C'est ainsi, que Uby et Baker, tout nus qu'ils soient, nous ont suivis, les léos et moi, par tout temps : froid, pluie, neige. Je te renvoie, si tu n'as rien d'autre à faire, à cet article, ou encore à celui-ci.

     

    Sauf qu'avec l'âge, Uby est devenue plus frileuse et avec les froids extrêmes de cet hiver, il devenait de plus en plus délicat de les faire sortir plus longtemps que pour aller pisser. La dernière photo que j'ai publiée d'eux sur la terrasse le week end dernier, pendant que je montais du bois a fait pleurer dans les chaumières.

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    Or, il ya une chaumière, où habite une dame qui ne se contente pas d'avoir un coeur gros comme ça , mais qui en plus a la chance d'avoir des doigts de fée, là où d'autres, suivez mon regard, n'ont que de gros boudins incapables de tenir une aiguille. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, elle a dégaîné ses aiguilles, et au courrier d'hier et d'aujourd'hui, j'ai eu la chance de recevoir deux cadeaux pour mes malheureux tout nus. Cette fée, c'est Salomé, certains d'entre vous la connaissent déjà, elle crèche ici : Vas-y voir (clic), elle fait des trucs géniaux et elle a une pêche d'enfer.

    Et moi je te fais montrer mes deux ouistitis. Je suis définitivement passée dans la catégorie des méméres à leur chienchien. Mais en attendant, on a pu passé un moment cet après-midi (pas trop longtemps car c'est moi qui suis malade) dans le jardin, sans que Uby et Baker ne tremblent de froid.

     

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    Tu noteras que le rose est parfaitement assorti à sa langue !

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    Pour Baker du bleu, parfaitement assorti à .... parce que c'est un garçon !

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    D'ailleurs, à ce propos, je tenais à rassurer Salomé qui était inquiète au téléphone toute à l'heure : le zizi a bien sa place comme il faut et il est opérationnel, aucune gêne aux entournures !

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    Et en plus c'est de la bonne came, vérifiée et approuvée d'une patte délicate par un expert en laine d'ours !

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    Ce qui est chouette, c'est qu'on peut tout faire pareil avec que sans.

     

    Jouer :

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    Se rouler :

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    Courir sur deux pattes :

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    Se promener avec ses potes :

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    Rouler des pelles avec une langue grande commak :

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    Monter la garde :

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    Montrer son cul, comme d'habitude (comme me le fait souvent remarquer Ysa) :

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    Mais surtout, surtout, FAIRE SA STAR !

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    (tu trouves pas qu'il a un p'tit côté jean-Claude Duss dans les Bronzés, mon Baker?)

    Avec, l'inévitable montée des marches :

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    Voilà, Salomé, la mémère à ses chienschiens, Uby et Baker, tenions à te dire :

     

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  • On continue à marcher sur l'eau.

    On fait des braséros dans les caves pour dégeler les tuyaux.

    On descend des seaux d'eau chaude aux juments à bout de bras sur 500 mètres aller et retour et ce plusieurs fois par jour.

    On fait venir le plombier pour réparer les tuyauteries qui pètent.

    On plains les pauvres bêtes frigorifiées.

    On se pèle les miches au boulot où les canalisations ont aussi pêté et où il n'y a pas de chauffage.

    On ferme l'école mais on y va quand même pour garder une dizaine de nains abandonnés par leur famille indigne.

    On ne regarde plus la télé car la tête de la parabole a gelé.

    On se lave quand et comme on peut.

    On prend la crève, on a de la fièvre, des frissons.

    On en a marre, quoi !

     

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  • On continue à marcher sur l'eau.

    On fait des braséros dans les caves pour dégeler les tuyaux.

    On descend des seaux d'eau chaude aux juments à bout de bras sur 500 mètres aller et retour et ce plusieurs fois par jour.

    On fait venir le plombier pour réparer les tuyauteries qui pètent.

    On plains les pauvres bêtes frigorifiées.

    On se pèle les miches au boulot où les canalisations ont aussi pêté et où il n'y a pas de chauffage.

    On ferme l'école mais on y va quand même pour garder une dizaine de nains abandonnés par leur famille indigne.

    On ne regarde plus la télé car la tête de la parabole a gelé.

    On se lave quand et comme on peut.

    On prend la crève, on a de la fièvre, des frissons.

    On en a marre, quoi !

     

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