Trop tard !

Ou comment certaine se mange une branche, quand d'autre l'évite élégamment !

 

 

 

 

Sans rancune Viviane, la prochaine fois je passerai la première !!!!!!!!!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sinon .... cela faisait presque un mois qu'on n'avait pas monté les juments.

Ce matin, 10 h, on les sort de leur paddock, on selle, on ne longe même pas et on part ! Sachant que notre périple imposait 4 kms de route d'une route étroite et tortueuse, mais un axe majeur touristique dans les Cévennes pour monter à Saint Jean en suivant les gorges du Gardon, et ce matin, c'était à croire que tout Nimes et tout Montpellier avait décidé d'emprunter cette route : voitures, motos,4X4 ... sans bas côté, car il y a la falaise, j'étais moyennement tranquille.

 

Eh bien, ma bibiche, elle n'a pas bougé une oreille !

 

Pour une jeune jument d'une race pas réputée facile, issue d'une mère à moitié tarée, débourrée par une totale néophyte en la matière (Bibi), pas montée depuis un mois, pas longée, je trouve que c'était vraiment chouette. Comme quoi, elle a quand même, malgré tout le faux mal que je dis d'elle, un bon fond, mon Autrichienne !

 

On a fait une balade de trois heures et demie, il ne faisait pas trop chaud, c'était chouette, d'autant qu'on a découvert de nouveaux endroits.

 

 

En route, on a rencontré un VTTiste en difficulté, très embêté à l'idée de manquer le départ du Grand Prix ! Mais il a fini par réparer et par rentrer bien avant nous, pile poil pour le départ ! Ca devient une habitude chez lui de crever à chaque balade !

 

 

 

 

                                  See you later alligator

Trop tard !

Ou comment certaine se mange une branche, quand d'autre l'évite élégamment !

 

 

 

 

Sans rancune Viviane, la prochaine fois je passerai la première !!!!!!!!!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sinon .... cela faisait presque un mois qu'on n'avait pas monté les juments.

Ce matin, 10 h, on les sort de leur paddock, on selle, on ne longe même pas et on part ! Sachant que notre périple imposait 4 kms de route d'une route étroite et tortueuse, mais un axe majeur touristique dans les Cévennes pour monter à Saint Jean en suivant les gorges du Gardon, et ce matin, c'était à croire que tout Nimes et tout Montpellier avait décidé d'emprunter cette route : voitures, motos,4X4 ... sans bas côté, car il y a la falaise, j'étais moyennement tranquille.

 

Eh bien, ma bibiche, elle n'a pas bougé une oreille !

 

Pour une jeune jument d'une race pas réputée facile, issue d'une mère à moitié tarée, débourrée par une totale néophyte en la matière (Bibi), pas montée depuis un mois, pas longée, je trouve que c'était vraiment chouette. Comme quoi, elle a quand même, malgré tout le faux mal que je dis d'elle, un bon fond, mon Autrichienne !

 

On a fait une balade de trois heures et demie, il ne faisait pas trop chaud, c'était chouette, d'autant qu'on a découvert de nouveaux endroits.

 

 

En route, on a rencontré un VTTiste en difficulté, très embêté à l'idée de manquer le départ du Grand Prix ! Mais il a fini par réparer et par rentrer bien avant nous, pile poil pour le départ ! Ca devient une habitude chez lui de crever à chaque balade !

 

 

 

 

                                  See you later alligator

Cet article va te passionner, lecteur !

 

Je t'emmène avec moi découvrir la Forteresse de Mornas, dans le Vaucluse. J'y étais hier avec mes élèves. Pour moi, c'était une quatrième fois et pour eux une première qui leur a plu.

 

Mornas domine la vallée du Rhône près de Bollène. Lors de nos fameux voyages de Lyon à Beauvoisin, la forteresse, à l'époque abandonnée, était l'un de mes phares.

Depuis une vingtaine d'années, une association s'emploie à la restaurer grâce à l'argent de visites animées.
L'ascension pour y accéder est spectaculaire, mes mollets sont encore tétanisés aujourd'hui, le lieu lui-même est superbe, quant à la vue de là-haut sur la vallée du Rhône, elle coupe le souffle.

Les nains ont participé à des ateliers de héraldique et d'écriture gothique, ont assisté à des démonstrations d'armes, ont visité les lieux, se sont fait torturer pour certains, adouber pour d'autres.

 

 

Puis après la forteresse, on est redescendus dans le village pour participer à un jeu de piste guidé autour du thème du sel (qui remontait de la mer par le Rhône jusqu'à Mornas).

 

Je te montre.

 

 

 

 

 

Voilà, j'ai fini avec mon article pseudo-touristique propre sur lui, demain, je reviens avec du plus enlevé, grâce à UBUPROFENE qui m'a sorti une perle aujourd'hui !

 

                            See you later alligator

Cet article va te passionner, lecteur !

 

Je t'emmène avec moi découvrir la Forteresse de Mornas, dans le Vaucluse. J'y étais hier avec mes élèves. Pour moi, c'était une quatrième fois et pour eux une première qui leur a plu.

 

Mornas domine la vallée du Rhône près de Bollène. Lors de nos fameux voyages de Lyon à Beauvoisin, la forteresse, à l'époque abandonnée, était l'un de mes phares.

Depuis une vingtaine d'années, une association s'emploie à la restaurer grâce à l'argent de visites animées.
L'ascension pour y accéder est spectaculaire, mes mollets sont encore tétanisés aujourd'hui, le lieu lui-même est superbe, quant à la vue de là-haut sur la vallée du Rhône, elle coupe le souffle.

Les nains ont participé à des ateliers de héraldique et d'écriture gothique, ont assisté à des démonstrations d'armes, ont visité les lieux, se sont fait torturer pour certains, adouber pour d'autres.

 

 

Puis après la forteresse, on est redescendus dans le village pour participer à un jeu de piste guidé autour du thème du sel (qui remontait de la mer par le Rhône jusqu'à Mornas).

 

Je te montre.

 

 

 

 

 

Voilà, j'ai fini avec mon article pseudo-touristique propre sur lui, demain, je reviens avec du plus enlevé, grâce à UBUPROFENE qui m'a sorti une perle aujourd'hui !

 

                            See you later alligator

Voilà, j'aurais pas dû plaisanter avec l'Education Nationale.

Ils ont fini par me mettre au pilori ....

 

 

                      See you later alligator

Voilà, j'aurais pas dû plaisanter avec l'Education Nationale.

Ils ont fini par me mettre au pilori ....

 

 

                      See you later alligator

 

 

 

Bravo à Csil et à Liz, et à priori à Bertrand qui dit qui sait mais qui dit pas ce qu'il sait (!!!!) : c'est bien dans "les trois frères !"

 

 

 

 

 

 

 

 

Après le Dîner de Cons, et le célèbre "Juste Leblanc", tu sais de quel film elle vient celle-là ?

 

"Elle est où la tétête; il est où le cucul  ?"

 

 

Allez, ne triche pas, ne google pas et ne regarde pas les autres coms avant de laisser le tien !

 

 

 

 

 

                See you later alligator

 

 

 

Bravo à Csil et à Liz, et à priori à Bertrand qui dit qui sait mais qui dit pas ce qu'il sait (!!!!) : c'est bien dans "les trois frères !"

 

 

 

 

 

 

 

 

Après le Dîner de Cons, et le célèbre "Juste Leblanc", tu sais de quel film elle vient celle-là ?

 

"Elle est où la tétête; il est où le cucul  ?"

 

 

Allez, ne triche pas, ne google pas et ne regarde pas les autres coms avant de laisser le tien !

 

 

 

 

 

                See you later alligator

Or donc, ce matin, j'étais en réunion plutôt formelle, au collège, avec la Principale, les profs de sixième, la CPE, les instits de CM2 des vallées environnantes, Madââââme l'Inspectrice  et mon virus. Le but était de passer en revue tous les élèves de manière à ce que nos collègues de collège soient au courant des difficultés scolaires, sociales ou familiales (et dans les vallées reculées de Cévennes où la consanguinité et l'absorption régulière de substances illicites sont monnaie courante, des difficultés, il y en a !) de leurs futures recrues.

J'ai parmi mes élèves un certain Antonio Just (je ne peux malheureusement pas modifier le nom de famille car sinon, tout ce que je vais raconter n'a pas de sens, mais c'est un gars sans problème qui n'est pas en lui-même l'objet de l'histoire, donc j'y vais quand même).

J'avais oublié de photocopier la liste de mes élèves pour les participants, j'avais aussi oublié d'apporter la fiche récapitulative à l'inspectrice (ça commençait mal), donc à chaque enfant, je prenais bien le temps de bien prononcer les noms et prénoms le temps que les profs et l'inspectrice les notent.

Arrivée au petit Antonio, comme on s'ennuyait ferme, je tente un trait d'humour.

 

"Antonio Just, mais c'est pas comme dans un Dîner de Cons, ici, c'est Just le nom  pas le prénom."

 

Dix stylos se figent en l'air et 10 paires d'yeux me fixent d'un regard que n'aurait pas désavoué ce pauvre Villeret.

Apparemment, le mot "cons" avait surpris, si ce n'est choqué dans ce contexte très policé de réunion formelle de la vieille Education Nationale et avait empêché les participants de comprendre où je voulais en venir.

Ne m'avouant pas vaincue, soutenue par mon ami le virus et la dizaine d'Ibuprofènes 200 ingurgités les 10 dernières heures, je m'obstine :

 

"Oui, dans un dîner de cons, le nom c'était Leblanc et le prénom Juste, mais la c'est le contraire, son prénom c'est Antonio et son nom, c'est juste Just."

 

Je m'enfonce d'autant plus que je me mets à glousser de nervosité dans la salle où le silence est glacial. Je ne peux pas les laisser ainsi :

 

"Oui, vous savez le film, le dîner de cons ?"

 

Non, ils ne savaient pas, ou en tous cas, ils avaient oublié la réplique. Pleine de bonne volonté, je rouvre la bouche pour retenter une explication, habituée à un certain répondant, même de la part de mes élèves, quand je tente une vanne, aussi nulle soit-elle. Je fais un tour de table visuel et mon regard croise celui de l'Inspectrice  ..... Dans ses yeux d'une froideur inhabituelle clignotaient 8 chiffres : 11062010 (11 juin 2010).

 

Je me suis tue, la tension est retombée comme un soufflet et la réunion a continué, morne et insipide jusqu'à ce que le mot "fin" s'affiche enfin.

 

Tous des pignoufs ... des Pignons plutôt !

 

 

 

                       See you later alligator

Or donc, ce matin, j'étais en réunion plutôt formelle, au collège, avec la Principale, les profs de sixième, la CPE, les instits de CM2 des vallées environnantes, Madââââme l'Inspectrice  et mon virus. Le but était de passer en revue tous les élèves de manière à ce que nos collègues de collège soient au courant des difficultés scolaires, sociales ou familiales (et dans les vallées reculées de Cévennes où la consanguinité et l'absorption régulière de substances illicites sont monnaie courante, des difficultés, il y en a !) de leurs futures recrues.

J'ai parmi mes élèves un certain Antonio Just (je ne peux malheureusement pas modifier le nom de famille car sinon, tout ce que je vais raconter n'a pas de sens, mais c'est un gars sans problème qui n'est pas en lui-même l'objet de l'histoire, donc j'y vais quand même).

J'avais oublié de photocopier la liste de mes élèves pour les participants, j'avais aussi oublié d'apporter la fiche récapitulative à l'inspectrice (ça commençait mal), donc à chaque enfant, je prenais bien le temps de bien prononcer les noms et prénoms le temps que les profs et l'inspectrice les notent.

Arrivée au petit Antonio, comme on s'ennuyait ferme, je tente un trait d'humour.

 

"Antonio Just, mais c'est pas comme dans un Dîner de Cons, ici, c'est Just le nom  pas le prénom."

 

Dix stylos se figent en l'air et 10 paires d'yeux me fixent d'un regard que n'aurait pas désavoué ce pauvre Villeret.

Apparemment, le mot "cons" avait surpris, si ce n'est choqué dans ce contexte très policé de réunion formelle de la vieille Education Nationale et avait empêché les participants de comprendre où je voulais en venir.

Ne m'avouant pas vaincue, soutenue par mon ami le virus et la dizaine d'Ibuprofènes 200 ingurgités les 10 dernières heures, je m'obstine :

 

"Oui, dans un dîner de cons, le nom c'était Leblanc et le prénom Juste, mais la c'est le contraire, son prénom c'est Antonio et son nom, c'est juste Just."

 

Je m'enfonce d'autant plus que je me mets à glousser de nervosité dans la salle où le silence est glacial. Je ne peux pas les laisser ainsi :

 

"Oui, vous savez le film, le dîner de cons ?"

 

Non, ils ne savaient pas, ou en tous cas, ils avaient oublié la réplique. Pleine de bonne volonté, je rouvre la bouche pour retenter une explication, habituée à un certain répondant, même de la part de mes élèves, quand je tente une vanne, aussi nulle soit-elle. Je fais un tour de table visuel et mon regard croise celui de l'Inspectrice  ..... Dans ses yeux d'une froideur inhabituelle clignotaient 8 chiffres : 11062010 (11 juin 2010).

 

Je me suis tue, la tension est retombée comme un soufflet et la réunion a continué, morne et insipide jusqu'à ce que le mot "fin" s'affiche enfin.

 

Tous des pignoufs ... des Pignons plutôt !

 

 

 

                       See you later alligator