• Il n'y a pas que moi qui dépéris dès que la lumière décline, j'en connais une autre qui, tout aussi surprise que moi par le sursaut tardif de l'été en ce dimanche 30 octobre, a décidé de ne pas en perdre une miette, de faire le plein de soleil afin de mieux affronter le froid de l'hiver.


    On frise l'orgasme canin, là, ou  je ne m'y connais pas. (Note bien que je ne m'y connais pas tant que ça en orgasme canin ....)

     

    30oct2011 (59)

    30oct2011 (60)

    30oct2011 (58)

     

    Enfin, ça, c'était hier ! Quand il pleut comme aujourd'hui, après la promenade dans la montagne d'où nous sommes revenus sous des trombes d'eau, rien de tel qu'un de ses bébés pour se sècher et se réchauffer.

     

    30102011839 [Résolution de l'écran]

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  • Il n'y a pas que moi qui dépéris dès que la lumière décline, j'en connais une autre qui, tout aussi surprise que moi par le sursaut tardif de l'été en ce dimanche 30 octobre, a décidé de ne pas en perdre une miette, de faire le plein de soleil afin de mieux affronter le froid de l'hiver.


    On frise l'orgasme canin, là, ou  je ne m'y connais pas. (Note bien que je ne m'y connais pas tant que ça en orgasme canin ....)

     

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    Enfin, ça, c'était hier ! Quand il pleut comme aujourd'hui, après la promenade dans la montagne d'où nous sommes revenus sous des trombes d'eau, rien de tel qu'un de ses bébés pour se sècher et se réchauffer.

     

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  • Tu prends une jument pure race lipizzan de six ans, un peu (understatement of the year) caractérielle, laissée en friches depuis le mois de mai : pas montée, pas travaillée, pas pansée, même pas marchée en longe (les changements de prés se faisant au crouton de pain ou au seau de granulés....)

     

    Tu prends une cavalière plus très jeune, sortant de six mois de douleurs intenses, venant de se faire opérer, le bide mou, la cuisse flasque, le dos raide .....

     

    Et tu te dis que la rencontre est improbable, voire imprudente !

     

    Sauf qu'il fait trop beau pour continuer à se lamenter, et que la jument, soit on la remonte, soit on la bouffe. 

    Alors, j'ai décidé de la  .... remonter .... Te dire que j'étais pétrie de trouille est le second euphémisme de l'année.

    J'ai fait mon Robert Redford : après l'avoir attrapée dans son champ sans trop de difficultés mais avec un seau de granulés, je l'ai conduite à l'attache et au creux de son oreille, je lui ai murmuré : "tu as une belle vie ici, on ne te demande rien de pénible, une balade de temps en temps, tu manges bien et beaucoup, tu bois de l'eau de source, on te soigne quand tu es malade, j'empêche - au péril de ma relation avec lui - le maréchal ferrand te te mettre les roustes que tu mérites, on t'a acheté une gentille copine, j'ai renoncé pour le reste de ma vie, car tu me survivras sûrement, à faire des grasses matinées pour que tu sois nourrie tous les matins à la même heure, je passe une grosse partie de mon temps libre à réparer les clôtures que tu casses pour que tu puisses continuer à brouter de l'herbe plus ou moins verte, alors s'il te plaît, laisse-toi faire, et sois sage. Sinon, on te bouffe !"

     

    Eh bien figure-toi que j'ai réussi à la seller du premier coup, alors que d'habitude elle tire au renard, envoie promener le tapis, puis la selle, puis les deux au moins trois ou quatre fois avant que je puisse la sangler, elle a ouvert aimablement la bouche pour que je lui passe le mors,  alors que d'habitude je me démets l'épaule pour atteindre sa bouche tellement elle se dresse pour m'éviter, elle a tourné en longe dans le champ en obéissant au quart de seconde à tous mes ordres vocaux alors que d'habitude elle me traîne sur plusieurs mètres avant de se mettre sur le cercle, je lui suis montée dessus  sans qu'elle bouge, alors que d'habitude elle démarre à peine mon orteil gauche posé sur l'étrier et a fait une cinquantaine de mètres déjà avant que je puisse enfin m'asseoir sur la selle et chausser l'autre étrier et on a fait notre tour du Gardon entre le Pont des Ca****rds et P**an, avec à peine un ou deux écarts et aucune des voitures rencontrées sur la route emboutie par un coup de pied rageur.

     

    Quelques photos toutes pourrites prises avec le téléphone.

    Comme quoi, hein, faut jamais jurer de rien ....

     

    30102011847

    30102011852

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    30102011862

    30102011864

    30102011872

     

     

     

     

     

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  • Tu prends une jument pure race lipizzan de six ans, un peu (understatement of the year) caractérielle, laissée en friches depuis le mois de mai : pas montée, pas travaillée, pas pansée, même pas marchée en longe (les changements de prés se faisant au crouton de pain ou au seau de granulés....)

     

    Tu prends une cavalière plus très jeune, sortant de six mois de douleurs intenses, venant de se faire opérer, le bide mou, la cuisse flasque, le dos raide .....

     

    Et tu te dis que la rencontre est improbable, voire imprudente !

     

    Sauf qu'il fait trop beau pour continuer à se lamenter, et que la jument, soit on la remonte, soit on la bouffe. 

    Alors, j'ai décidé de la  .... remonter .... Te dire que j'étais pétrie de trouille est le second euphémisme de l'année.

    J'ai fait mon Robert Redford : après l'avoir attrapée dans son champ sans trop de difficultés mais avec un seau de granulés, je l'ai conduite à l'attache et au creux de son oreille, je lui ai murmuré : "tu as une belle vie ici, on ne te demande rien de pénible, une balade de temps en temps, tu manges bien et beaucoup, tu bois de l'eau de source, on te soigne quand tu es malade, j'empêche - au péril de ma relation avec lui - le maréchal ferrand te te mettre les roustes que tu mérites, on t'a acheté une gentille copine, j'ai renoncé pour le reste de ma vie, car tu me survivras sûrement, à faire des grasses matinées pour que tu sois nourrie tous les matins à la même heure, je passe une grosse partie de mon temps libre à réparer les clôtures que tu casses pour que tu puisses continuer à brouter de l'herbe plus ou moins verte, alors s'il te plaît, laisse-toi faire, et sois sage. Sinon, on te bouffe !"

     

    Eh bien figure-toi que j'ai réussi à la seller du premier coup, alors que d'habitude elle tire au renard, envoie promener le tapis, puis la selle, puis les deux au moins trois ou quatre fois avant que je puisse la sangler, elle a ouvert aimablement la bouche pour que je lui passe le mors,  alors que d'habitude je me démets l'épaule pour atteindre sa bouche tellement elle se dresse pour m'éviter, elle a tourné en longe dans le champ en obéissant au quart de seconde à tous mes ordres vocaux alors que d'habitude elle me traîne sur plusieurs mètres avant de se mettre sur le cercle, je lui suis montée dessus  sans qu'elle bouge, alors que d'habitude elle démarre à peine mon orteil gauche posé sur l'étrier et a fait une cinquantaine de mètres déjà avant que je puisse enfin m'asseoir sur la selle et chausser l'autre étrier et on a fait notre tour du Gardon entre le Pont des Ca****rds et P**an, avec à peine un ou deux écarts et aucune des voitures rencontrées sur la route emboutie par un coup de pied rageur.

     

    Quelques photos toutes pourrites prises avec le téléphone.

    Comme quoi, hein, faut jamais jurer de rien ....

     

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  • plombé (7)

     

    J'ai fait le pitre, depuis quinze jours, en enchaînant billets légers et photos colorées .... J'ai tenté d'empiler de dérisoires sacs d'humour pour empêcher le flot de la tristesse, la vague de votre aimable compassion de s'infiltrer dans ces pages et dans ma vie. Mais la tristesse, c'est comme l'eau, ça passe partout, ça monte et ça submerge, ça fait des dégâts, car rien ne l'arrête.

     

     

     

    Peut-être que je n'aurais pas dû l'enterrer au pied des chevaux, là où je la vois plusieurs fois par jour, là où ma macabre imagination ne peut s'empêcher d'aller plus loin que le   souvenir ....

     

     

     

    Mais non  .... ce n'est pas que ça. C'est l'hiver annoncé, la lumière masquée par la nuit, la porte que l'on ferme pour garder dedans un peu de chaleur, les couleurs qui grisaillent, le cri rauque des corbeaux dans le silence glacial de la montagne .... la pauvre déficitaire en sérotonine que je suis, la réfractaire à la chimie médicamenteuse qui une fois de plus contre avis médical a jeté sa boîte de pillules qui rendent heureux, tremble comme ces feuilles sur les branches où elles s'acrochent encore: le combat annuel va commencer entre le triomphant hiver et moi, moi qui ne sait pas plier et qui vais craquer comme du vieux  bois que l'on fend d'un coup de hache.

     

     

    Je suis partie, ce matin, sous un ciel lourd et plombé, pour l'abattoir où m'attendaient mon quintal de poulet. Je suis descendue de la montagne, et sur cette route qui sinue au milieu des vignes, j'ai tenté de me raccrocher aux dernières couleurs de leur vie. Je me suis crue un instant en Toscane, j'ai failli me sentir mieux, et puis je me suis dit que de toutes façons, là-bas aussi, l'hiver allait triompher. 

     

    plombé (17)


    plombé (2)


    plombé

     


    plombé (12)


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    plombé (6)

     

     

    Au retour, tout près d'Anduze, je me suis arrêtée au pied du Château de Tornac (clic) et j'ai dévalé un petit chemin boueux pour arriver dans le lit du Gardon. A cet endroit, il ressemble tellement à la Durance, à ma Durance, là bas, en Provence, que ça en a fait presque mal, là au creux de l'estomac. Je n'avais pas les bonnes chaussures, mais j'ai marché sur les galets, seule, un bon moment. Je n'ai dérangé qu'une mouette et un héron. Je me suis souvenue de tant de balades à deux, avec tous les chiens qui gambadaient autour de nous, au bord de la Durance. Et ça aussi, ça a fait mal.

     

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    plombé (15)


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    Demain, on change d'heure. Demain, il fera nuit tôt. Laurent vient de partir pour Aix chez sa copine. Viviane vient de rentrer de chez son père. Ils se sont croisés deux jours à peine, ici. La famille se délite. Notre noyau qui s'est soudé dans l'adversité, se ramollit, se fendille : il en naîtra d'autres noyaux et c'est bien ainsi.  Viviane sera partie dans quelques mois aussi. Je resterai dans mon nid d'aigle, je compterai les jours en attendant leur retour et ceux en attendant leur départ, sans aucun doute, aigrie dans la solitude , même leur présence tant attendue me sera difficilement supportable parfois ....

     


    plombé (22)

     

    Comme un moulin sans ailes, j'attendrai, plombée, moi aussi.


    plombé (11)

     

     

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  • plombé (7)

     

    J'ai fait le pitre, depuis quinze jours, en enchaînant billets légers et photos colorées .... J'ai tenté d'empiler de dérisoires sacs d'humour pour empêcher le flot de la tristesse, la vague de votre aimable compassion de s'infiltrer dans ces pages et dans ma vie. Mais la tristesse, c'est comme l'eau, ça passe partout, ça monte et ça submerge, ça fait des dégâts, car rien ne l'arrête.

     

     

     

    Peut-être que je n'aurais pas dû l'enterrer au pied des chevaux, là où je la vois plusieurs fois par jour, là où ma macabre imagination ne peut s'empêcher d'aller plus loin que le   souvenir ....

     

     

     

    Mais non  .... ce n'est pas que ça. C'est l'hiver annoncé, la lumière masquée par la nuit, la porte que l'on ferme pour garder dedans un peu de chaleur, les couleurs qui grisaillent, le cri rauque des corbeaux dans le silence glacial de la montagne .... la pauvre déficitaire en sérotonine que je suis, la réfractaire à la chimie médicamenteuse qui une fois de plus contre avis médical a jeté sa boîte de pillules qui rendent heureux, tremble comme ces feuilles sur les branches où elles s'acrochent encore: le combat annuel va commencer entre le triomphant hiver et moi, moi qui ne sait pas plier et qui vais craquer comme du vieux  bois que l'on fend d'un coup de hache.

     

     

    Je suis partie, ce matin, sous un ciel lourd et plombé, pour l'abattoir où m'attendaient mon quintal de poulet. Je suis descendue de la montagne, et sur cette route qui sinue au milieu des vignes, j'ai tenté de me raccrocher aux dernières couleurs de leur vie. Je me suis crue un instant en Toscane, j'ai failli me sentir mieux, et puis je me suis dit que de toutes façons, là-bas aussi, l'hiver allait triompher. 

     

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    Au retour, tout près d'Anduze, je me suis arrêtée au pied du Château de Tornac (clic) et j'ai dévalé un petit chemin boueux pour arriver dans le lit du Gardon. A cet endroit, il ressemble tellement à la Durance, à ma Durance, là bas, en Provence, que ça en a fait presque mal, là au creux de l'estomac. Je n'avais pas les bonnes chaussures, mais j'ai marché sur les galets, seule, un bon moment. Je n'ai dérangé qu'une mouette et un héron. Je me suis souvenue de tant de balades à deux, avec tous les chiens qui gambadaient autour de nous, au bord de la Durance. Et ça aussi, ça a fait mal.

     

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    Demain, on change d'heure. Demain, il fera nuit tôt. Laurent vient de partir pour Aix chez sa copine. Viviane vient de rentrer de chez son père. Ils se sont croisés deux jours à peine, ici. La famille se délite. Notre noyau qui s'est soudé dans l'adversité, se ramollit, se fendille : il en naîtra d'autres noyaux et c'est bien ainsi.  Viviane sera partie dans quelques mois aussi. Je resterai dans mon nid d'aigle, je compterai les jours en attendant leur retour et ceux en attendant leur départ, sans aucun doute, aigrie dans la solitude , même leur présence tant attendue me sera difficilement supportable parfois ....

     


    plombé (22)

     

    Comme un moulin sans ailes, j'attendrai, plombée, moi aussi.


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    la queue

     

     

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  • sommet européen (2)

     

     

    sommet européen (4)A ma droite, un 4X4, aucune option mais polyvalent, transporte du bois, du foin, des cuisses de poulet mort, des poubelles souvent vivantes, quelques chiens à la pilosité galopante, un peu poussif .... Indispensable dans mes contrées. English quality !


     

     

    sommet européenA ma gauche, une jeune jument.

     


     

    Toutes options :

     

     

    im22 5387 [800x600]Dents complètes, sortant de la bouche en un simple clic, au tranchant inégalé.

     

     


     

     

     

     


     


    8oct-2011--5-.JPGQueue au battant souple et menaçant décourageant tout autre véhicule de s'approcher trop près.

     

     

     

     


     

     


     

     

     

     

     

     

     


     

     

    DSCF0183--800x600-.jpgOreilles inclinées pour dégager de l'espace sur le crâne.

     

     

     

     

     

     


     


     

     

    14mai2011--114---Resolution-de-l-ecran-.JPGArrière-train monté sur ressort prêt à dégaîner dans la seconde.

     

     

     

     

     

     


     


     

    14mai2011--119---Resolution-de-l-ecran-.JPGPassage de l'arrêt au galop instantané.

     

     

     

     

     

     


     

     

     

     

     

     

     

    Totalement inutile en mes contrées. Mais !!! Österreischische Qualität ! Achtung !


     

     

    Résultat : l'Autrichienne vainqueur par KO ! Mes feux arrière ont eu chaud.  Ma seule consolation : elle n'est pas ferrée à l'arrière, le pet aurait pu être pire.

     

    sommet européen (3)

    sommet européen (5)sommet européen (7)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pas grave, elle roule toujours. Et Sissy court toujours. Je l'ai poursuivie un moment  après être sortie en trombe du 4X4 malmené, en la traitant de noms d'oiseaux commençant presque tous pas "s" (je te laisse faire le compte, y en a quelques uns) mais il a fallu que je me rende à l'évidence, elle court beaucoup plus vite que moi.

     

    sommet européen (6)

     

    Cette photo de la ruade a été prise par Claudine de Tahiti, lors de la seule visite que j'ai été capable d'assumer cet été et qui m'a fait un bien fou. Je ne l'ai pas racontée sur ces pages (ouh la vilaine) mais Clo l'a fait avec beaucoup de gentillesse et d'émotion ici (clic).

     

     

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  • sommet européen (2)

     

     

    sommet européen (4)A ma droite, un 4X4, aucune option mais polyvalent, transporte du bois, du foin, des cuisses de poulet mort, des poubelles souvent vivantes, quelques chiens à la pilosité galopante, un peu poussif .... Indispensable dans mes contrées. English quality !


     

     

    sommet européenA ma gauche, une jeune jument.

     


     

    Toutes options :

     

     

    im22 5387 [800x600]Dents complètes, sortant de la bouche en un simple clic, au tranchant inégalé.

     

     


     

     

     

     


     


    8oct-2011--5-.JPGQueue au battant souple et menaçant décourageant tout autre véhicule de s'approcher trop près.

     

     

     

     


     

     


     

     

     

     

     

     

     


     

     

    DSCF0183--800x600-.jpgOreilles inclinées pour dégager de l'espace sur le crâne.

     

     

     

     

     

     


     


     

     

    14mai2011--114---Resolution-de-l-ecran-.JPGArrière-train monté sur ressort prêt à dégaîner dans la seconde.

     

     

     

     

     

     


     


     

    14mai2011--119---Resolution-de-l-ecran-.JPGPassage de l'arrêt au galop instantané.

     

     

     

     

     

     


     

     

     

     

     

     

     

    Totalement inutile en mes contrées. Mais !!! Österreischische Qualität ! Achtung !


     

     

    Résultat : l'Autrichienne vainqueur par KO ! Mes feux arrière ont eu chaud.  Ma seule consolation : elle n'est pas ferrée à l'arrière, le pet aurait pu être pire.

     

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    Pas grave, elle roule toujours. Et Sissy court toujours. Je l'ai poursuivie un moment  après être sortie en trombe du 4X4 malmené, en la traitant de noms d'oiseaux commençant presque tous pas "s" (je te laisse faire le compte, y en a quelques uns) mais il a fallu que je me rende à l'évidence, elle court beaucoup plus vite que moi.

     

    sommet européen (6)

     

    Cette photo de la ruade a été prise par Claudine de Tahiti, lors de la seule visite que j'ai été capable d'assumer cet été et qui m'a fait un bien fou. Je ne l'ai pas racontée sur ces pages (ouh la vilaine) mais Clo l'a fait avec beaucoup de gentillesse et d'émotion ici (clic).

     

     

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