• Je ne sais pas leur vrai nom, Danièle, si tu me lis, toi qui en avais tant à La Roque, c'est toi qui m'avais appris leur surnom de vendangeuses, parce qu'elles sortent au moment des vendanges, peut-être sais tu comment elles s'appellent pour de vrai ?
    Les premières ont éclos cette nuit.

     



    Edit post wikipedia : il semblerait que ce soit des Sternbergia lutea  (à tes souhaits) appelées à tort Crocus d'automne ....                                                                                                                       

                                           
                                                                                                                                                              See you later alligator



    votre commentaire
  • Je ne sais pas leur vrai nom, Danièle, si tu me lis, toi qui en avais tant à La Roque, c'est toi qui m'avais appris leur surnom de vendangeuses, parce qu'elles sortent au moment des vendanges, peut-être sais tu comment elles s'appellent pour de vrai ?
    Les premières ont éclos cette nuit.

     



    Edit post wikipedia : il semblerait que ce soit des Sternbergia lutea  (à tes souhaits) appelées à tort Crocus d'automne ....                                                                                                                       

                                           
                                                                                                                                                              See you later alligator



    votre commentaire
  • Pour faire écho au blog de Mic que j'aime beaucoup lire (mais comme je ne sais pas quelles sont les règles qui régissent le fait de mettre ou pas un lien, je préfère m'abstenir pour l'instant) , je mets mes propres photos de chiens-commères !


    Au fait, merci Puce, ce sont TES photos.

                                                                                                                                                         See you later alligator
     

    3 commentaires
  • Pour faire écho au blog de Mic que j'aime beaucoup lire (mais comme je ne sais pas quelles sont les règles qui régissent le fait de mettre ou pas un lien, je préfère m'abstenir pour l'instant) , je mets mes propres photos de chiens-commères !


    Au fait, merci Puce, ce sont TES photos.

                                                                                                                                                         See you later alligator
     

    votre commentaire
  • Viviane est venue m'aider à faire travailler la pouliche hier soir.

    Initialement, le but était de la mettre au travail pour la première fois sur le cercle, et pour ça j'ai besoin d'une aide. Et puis comme la Princesse Sissy avait pêté un boulon hier à midi, décidant de ne plus résister aux appels de l'étalon qui crèche à 300 mètres de chez elle, on est resté sur du travail classique à la longe pour améliorer les tansitions montantes et descendantes. On ne propose pas un travail nouveau à une pouliche lipizzan énervée ! En tous cas pas moi ...


    La sortie au pré hier à midi a en effet été chaude de chez chaude, je suis repartie la peur au ventre à l'école, persuadée que l'un ou l'autre réussirait à s'échapper, et que dans 11 mois, je serais l'heureuse nounou d'un joli bâtard Lipizzan/PSF. Mais vu le caractère du papa (demande à mes huit chiens, qui l'autre jour ont voulu aller le courser, histoire de rigoler un peu et de changer des sangliers, et qui EUX, n'ont jamais couru aussi vite de leur vie, poursuivis par l'entier au grand galop, tout gonflé de son importance, de sa virilité et de son offuscation d'avoir des visiteurs non invités dans SON pré, même que Brett m'a rejointe bien cinq minutes après les autres, tellement il a fait un long détour par la montagne pour sortir du dit-pré et ne pas risquer de se retrouver à proximité de la grosse bébête !), vu le caractère du papa, disais-je, je ne suis quand même pas fan de ce mariage.



    Mariage qui n'a pas eu lieu. Bien que - en rentrant à cinq heures - j'aie eu une grosse trouille, car Sissy qui entend la voiture et vient généralement m'attendre, n'était en vue nulle part. Je suis allée la retrouver à l'extêmité du champ où elle pâturait, elle avait ainsi réduit l'espace entre elle et le bel Hidalgo à 150 mètres, mais il y était seule et les clôtures étaient intactes. Donc le poulain, c'est pas pour cette fois-ci.

    Et la sortie au champ de ce midi a été plus calme, elle est entrain de se gaver des coings qui sont tombés avec le vent et ne se préoccupe plus de son soupirant. Ah l'inconstance des juments !

    Toujours est-il que Viviane est quand même venue avec moi faire le travail de base hier soir, d'où quelques photos que j'aime bien, malgré l'air pas rassuré de ma flle à qui je venais de raconter les exploits de Sissy ce midi !



     

                                                                                                                   See you later alligator
     

     


    1 commentaire
  • Viviane est venue m'aider à faire travailler la pouliche hier soir.

    Initialement, le but était de la mettre au travail pour la première fois sur le cercle, et pour ça j'ai besoin d'une aide. Et puis comme la Princesse Sissy avait pêté un boulon hier à midi, décidant de ne plus résister aux appels de l'étalon qui crèche à 300 mètres de chez elle, on est resté sur du travail classique à la longe pour améliorer les tansitions montantes et descendantes. On ne propose pas un travail nouveau à une pouliche lipizzan énervée ! En tous cas pas moi ...


    La sortie au pré hier à midi a en effet été chaude de chez chaude, je suis repartie la peur au ventre à l'école, persuadée que l'un ou l'autre réussirait à s'échapper, et que dans 11 mois, je serais l'heureuse nounou d'un joli bâtard Lipizzan/PSF. Mais vu le caractère du papa (demande à mes huit chiens, qui l'autre jour ont voulu aller le courser, histoire de rigoler un peu et de changer des sangliers, et qui EUX, n'ont jamais couru aussi vite de leur vie, poursuivis par l'entier au grand galop, tout gonflé de son importance, de sa virilité et de son offuscation d'avoir des visiteurs non invités dans SON pré, même que Brett m'a rejointe bien cinq minutes après les autres, tellement il a fait un long détour par la montagne pour sortir du dit-pré et ne pas risquer de se retrouver à proximité de la grosse bébête !), vu le caractère du papa, disais-je, je ne suis quand même pas fan de ce mariage.



    Mariage qui n'a pas eu lieu. Bien que - en rentrant à cinq heures - j'aie eu une grosse trouille, car Sissy qui entend la voiture et vient généralement m'attendre, n'était en vue nulle part. Je suis allée la retrouver à l'extêmité du champ où elle pâturait, elle avait ainsi réduit l'espace entre elle et le bel Hidalgo à 150 mètres, mais il y était seule et les clôtures étaient intactes. Donc le poulain, c'est pas pour cette fois-ci.

    Et la sortie au champ de ce midi a été plus calme, elle est entrain de se gaver des coings qui sont tombés avec le vent et ne se préoccupe plus de son soupirant. Ah l'inconstance des juments !

    Toujours est-il que Viviane est quand même venue avec moi faire le travail de base hier soir, d'où quelques photos que j'aime bien, malgré l'air pas rassuré de ma flle à qui je venais de raconter les exploits de Sissy ce midi !



     

                                                                                                                   See you later alligator
     

     


    votre commentaire
  • La fin de l'été est une saison à la con .... surtout dans les Cévennes où les figuiers poussent comme du chiendent.
    Donc résultats du match de la saison

    Figues : 0  - Joëlle : 3

    Mais contrairement aux apparences, c'est les figues qui gagnent, car le "3", c'est pas des points, mais des kilos pris en deux semaines ....


    Bon appétit  à vous. Moi je vais lier ma sauce à la crème (allégée ? Mais pourquoi, ça va pas la tête ? ) et on passe à table !


                                                                                                             See you later alligator
     

    2 commentaires
  • La fin de l'été est une saison à la con .... surtout dans les Cévennes où les figuiers poussent comme du chiendent.
    Donc résultats du match de la saison

    Figues : 0  - Joëlle : 3

    Mais contrairement aux apparences, c'est les figues qui gagnent, car le "3", c'est pas des points, mais des kilos pris en deux semaines ....


    Bon appétit  à vous. Moi je vais lier ma sauce à la crème (allégée ? Mais pourquoi, ça va pas la tête ? ) et on passe à table !


                                                                                                             See you later alligator
     

    votre commentaire
  • Humeur morose .... Pas grand-chose à raconter, je ne suis toujours pas frappée ni par la vocation, ni par la grâce, donc la reprise du boulot ne fait pas briller des étoiles dans mon regard ! Alors que je te narre une mésaventure de ce week end que j'hésitais à mettre ici, vue qu'elle est un peu border-line, mais c'est la dernière fois que j'ai ri aux éclats, on pourrait presque dire que je me suis fait pipi dessus de rire ....

    C'était samedi. Me voilà presque partie avec Viviane faire des dernières courses de rentrée. Je m'habille propre, des pieds à la tête, sauf pour les bottes de cheval que je garde jusqu'au dernier moment, et je vais dans ma salle de bain faire le pipi d'avant le départ.

    Me voilà élégamment avachie sur la lunette des ouaouas, quand sur ma droite, passe une ombre noire de mauvais aloi.
    J'hésite à tourner la tête, mais l'ombre attire mon regard comme un aimant, et que vois-je, de mes grands yeux éberlués : THE BESTIASSE !  
    L'ALIEN des CEVENNES !


    La T-REX des ARACHNIDES


    Bref, l'Araignée, avec un grand A et toutes ses pattes noires velues, la

     

    championne du monde de celles que j'ai eu l'occasion de rencontrer récemment.

    .

     


    Des bestiasses, j'en ai vu quelques unes ces temps derniers, dont les redoutables scolopendres qui habitaient mon ancienne maison ( et même qu'un d'entre eux s'était un jour glissé avec moi sous ma couette  d'où il a été débusqué par le chauve bedonnant quand il est venu se coucher).


    Bref, tout ça pour dire, que faible femme que je suis, je reste pourtant capable de gérer les rencontres animalières les plus désagréables, avec sinon du courage, en tous cas un relatif sang froid. Armée d'une bombe de Raid et d'un balai brosse, je fais généralement face .....

    Sauf que là, va savoir ! Etait-ce la position d'infériorité flagrante (jeans et string .... bon ça va, OK, peut-être que c'était une culotte en coton) sur les mollets, toute course de fuite potentielle remise sérieusement en question, était-ce l'extrême proximité de la bestiasse mutante  ou encore et tout simplement la TAILLE de ma visiteuse de  l'après-midi, toujours est-il que tout sang-froid m'a abandonnée, j'ai switché sur le mode "cerveau reptilien" et tout en poussant un hurlement qui a dû s'entendre en haut de l'Aigoual, j'ai entrepris de fuir le monstre cévenol
                                                         

                                                               A TOUT PRIX !

    Avec, je te le rappelle, le jean sur les talons, et comment dire .... la miction pressante qui venait de débuter. Rarement j'ai autant regretté
    1) d'être restée si longtemps  sans pisser ( 6 heures depuis le matin),
    2) de boire quelques gallons de thé par jour
    3) de ne pas avoir été au bout de mes séances de rééducation périnéale après la naissance de Viviane.
    J'ai réussi à tituber jusqu'à ma chambre adjacente, mais, comment te dire encore, rien,

     

     

    RIEN, tu m'entends, n'a été possible pour arrêter l'évacuation de mes trois litres de

     

    Yunnan du matin.
    Bref, j'ai réussi à inonder - mais littéralement, - la salle de bain, ma chambre, à tremper mon jean propre et mon string (euh ma culotte en coton - propre aussi), et  - rappelle-toi .... -à remplir mes bottes de cheval que je n'avais pas encore ôtées. Tout ça en faisant la sirène bien sûr (celle qui crie, pas celle qui chante dans un dessin animé de Walt).

    Laurent et Viviane sont arrivés en courant, ont failli s'estradasser par terre, car, ben oui, ça glissait un peu beaucoup. Hors de portée de la bête, j'ai retrouvé mes esprits et j'ai été prise du fou rire du siècle, le jean toujours autour de pieds, incapable de faire un pas. Je n'ai réussi qu'à remonter la culotte en coton trempée à l'arrivée de mes enfants.

    J'ai menacé Laurent de maints sévices tous aussi vicieux les uns que les autres s'il ressortait de la salle de bain sans avoir occi le monstre qui s'était réfugié sous le lavabo. En faisant floc floc et en riant aux larmes, il  a réussi à la dénicher et à la dégommer, pendant que Viviane, d'un air dégoûté, les lèvres pincées, m'apportait une serpillère (elle n'a jamais réussi à rire de l'aventure, alors que Laurent et moi, on a pouffé toute la journée, je suppose, qu'en tant que fille, elle s'est projetée dans un futur peut-être pas très lointain où elle se sentirait  obligée de torcher sa mère incontinente).






    Dans l'histoire, il y avait les huit chiens, bien sûr toujours collés à mes basques (mouillées elles aussi, les basques), qui trouvaient l'aubaine plutôt bonne, en se disant que Youpi, les jours de pluie, ils ne seraient enfin plus obligés de sortir et qu'ils auraient de quoi redire la prochaine fois qu'ils lèveraient la patte sur un pied de table et qu'ils prendraient un coup de pied au cul.



    Araignée du matin : chagrin
    Araignée du soir : espoir
    Araignée de l'après-midi : PIPI !
     



                                                                                                                                                  See you later alligator
     


    6 commentaires
  • Humeur morose .... Pas grand-chose à raconter, je ne suis toujours pas frappée ni par la vocation, ni par la grâce, donc la reprise du boulot ne fait pas briller des étoiles dans mon regard ! Alors que je te narre une mésaventure de ce week end que j'hésitais à mettre ici, vue qu'elle est un peu border-line, mais c'est la dernière fois que j'ai ri aux éclats, on pourrait presque dire que je me suis fait pipi dessus de rire ....

    C'était samedi. Me voilà presque partie avec Viviane faire des dernières courses de rentrée. Je m'habille propre, des pieds à la tête, sauf pour les bottes de cheval que je garde jusqu'au dernier moment, et je vais dans ma salle de bain faire le pipi d'avant le départ.

    Me voilà élégamment avachie sur la lunette des ouaouas, quand sur ma droite, passe une ombre noire de mauvais aloi.
    J'hésite à tourner la tête, mais l'ombre attire mon regard comme un aimant, et que vois-je, de mes grands yeux éberlués : THE BESTIASSE !  
    L'ALIEN des CEVENNES !


    La T-REX des ARACHNIDES


    Bref, l'Araignée, avec un grand A et toutes ses pattes noires velues, la

     

    championne du monde de celles que j'ai eu l'occasion de rencontrer récemment.

    .

     


    Des bestiasses, j'en ai vu quelques unes ces temps derniers, dont les redoutables scolopendres qui habitaient mon ancienne maison ( et même qu'un d'entre eux s'était un jour glissé avec moi sous ma couette  d'où il a été débusqué par le chauve bedonnant quand il est venu se coucher).


    Bref, tout ça pour dire, que faible femme que je suis, je reste pourtant capable de gérer les rencontres animalières les plus désagréables, avec sinon du courage, en tous cas un relatif sang froid. Armée d'une bombe de Raid et d'un balai brosse, je fais généralement face .....

    Sauf que là, va savoir ! Etait-ce la position d'infériorité flagrante (jeans et string .... bon ça va, OK, peut-être que c'était une culotte en coton) sur les mollets, toute course de fuite potentielle remise sérieusement en question, était-ce l'extrême proximité de la bestiasse mutante  ou encore et tout simplement la TAILLE de ma visiteuse de  l'après-midi, toujours est-il que tout sang-froid m'a abandonnée, j'ai switché sur le mode "cerveau reptilien" et tout en poussant un hurlement qui a dû s'entendre en haut de l'Aigoual, j'ai entrepris de fuir le monstre cévenol
                                                         

                                                               A TOUT PRIX !

    Avec, je te le rappelle, le jean sur les talons, et comment dire .... la miction pressante qui venait de débuter. Rarement j'ai autant regretté
    1) d'être restée si longtemps  sans pisser ( 6 heures depuis le matin),
    2) de boire quelques gallons de thé par jour
    3) de ne pas avoir été au bout de mes séances de rééducation périnéale après la naissance de Viviane.
    J'ai réussi à tituber jusqu'à ma chambre adjacente, mais, comment te dire encore, rien,

     

     

    RIEN, tu m'entends, n'a été possible pour arrêter l'évacuation de mes trois litres de

     

    Yunnan du matin.
    Bref, j'ai réussi à inonder - mais littéralement, - la salle de bain, ma chambre, à tremper mon jean propre et mon string (euh ma culotte en coton - propre aussi), et  - rappelle-toi .... -à remplir mes bottes de cheval que je n'avais pas encore ôtées. Tout ça en faisant la sirène bien sûr (celle qui crie, pas celle qui chante dans un dessin animé de Walt).

    Laurent et Viviane sont arrivés en courant, ont failli s'estradasser par terre, car, ben oui, ça glissait un peu beaucoup. Hors de portée de la bête, j'ai retrouvé mes esprits et j'ai été prise du fou rire du siècle, le jean toujours autour de pieds, incapable de faire un pas. Je n'ai réussi qu'à remonter la culotte en coton trempée à l'arrivée de mes enfants.

    J'ai menacé Laurent de maints sévices tous aussi vicieux les uns que les autres s'il ressortait de la salle de bain sans avoir occi le monstre qui s'était réfugié sous le lavabo. En faisant floc floc et en riant aux larmes, il  a réussi à la dénicher et à la dégommer, pendant que Viviane, d'un air dégoûté, les lèvres pincées, m'apportait une serpillère (elle n'a jamais réussi à rire de l'aventure, alors que Laurent et moi, on a pouffé toute la journée, je suppose, qu'en tant que fille, elle s'est projetée dans un futur peut-être pas très lointain où elle se sentirait  obligée de torcher sa mère incontinente).






    Dans l'histoire, il y avait les huit chiens, bien sûr toujours collés à mes basques (mouillées elles aussi, les basques), qui trouvaient l'aubaine plutôt bonne, en se disant que Youpi, les jours de pluie, ils ne seraient enfin plus obligés de sortir et qu'ils auraient de quoi redire la prochaine fois qu'ils lèveraient la patte sur un pied de table et qu'ils prendraient un coup de pied au cul.



    Araignée du matin : chagrin
    Araignée du soir : espoir
    Araignée de l'après-midi : PIPI !
     



                                                                                                                                                  See you later alligator
     


    votre commentaire